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"Les Traversées Tatihou" > Concert Lolomis, au-delà des Balkans, sorcellerie sans frontière

Concert, Festival généraliste, Musique du monde

QUETTEHOU 50630

Le 23/08/2021

Dans le cadre des Traversées Tatihou. Les quatre musiciens de Lolomis raccordent le vieux fond nordique, balkanique et slave, avec le Caucase derrière, à une modernité musicale où se conjuguent les influences du hip hop et de l’électro. Leur tout nouvel album Red Sonja (avril 2020) pousse très loin l’expérimentation et la fusion et tient de la musique d’adoration. Partout le rituel, la prière aux divinités naturelles et l’aveu de l’amour dans la chair, la brûlure de passion sur les lèvres, les étreintes désordonnées, le chaos d’animalité. Beauté noire et teint clair, comme le chante Romane dans Morena. Plus qu’un concert, une expérience revigorante.

photo Concert promenade Stelios, Elodie Messmer / Jack Titley / Mazarski Trio">

"Les Traversées Tatihou" > Concert promenade Stelios, Elodie Messmer / Jack Titley / Mazarski Trio

Concert, Festival généraliste, Musique du monde

SAINT-VAAST-LA-HOUGUE 50550

Le 24/08/2021

Dans le cadre des Traversées Tatihou. Traversée musicale des jardins de l’île Tatihou. STÉLIOS LAZAROU & ÉLODIE MESSMER (Lolomis - France). Lolomis raccorde le vieux fond nordique, balkanique et slave et le Caucase, à une modernité musicale où se conjuguent les influences du hip hop et de l’électro. Leur tout nouvel album Red Sonja (avril 2020) pousse très loin l’expérimentation et la fusion et tient de la musique d’adoration. A l’occasion du concert-promenade, Stelios Lazarou (flûtes) et Elodie Messmer (harpe) nous offre une pépite acoustique en duo dans les jardins ! JACK TITLEY (Horla, France). Né de parents Beatniks-Bourlingueurs, en osmose totale avec leur temps, Jack a grandi au son de la radio anglaise des années 80 et des vieux vinyles Américains de son père. Ce dernier pratiquait le Bluegrass et trimbalait Jack et sa soeur Danielle dans les concerts et les festivals du genre, les prédestinant malgré eux à un avenir musical très acoustique. Multi-instrumentiste, compositeur hors pair et chanteur incroyable, Jack a évolué en parallèle dans des dizaines de formations éclectiques et y a forgé sa propre plume. Des instrumentaux aux origines indéfinissables et pourtant[...]

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Musique, Concert

Quettehou 50630

Le 23/08/2021

Dans le cadre des Traversées Tatihou. Les quatre musiciens de Lolomis raccordent le vieux fond nordique, balkanique et slave, avec le Caucase derrière, à une modernité musicale où se conjuguent les influences du hip hop et de l’électro. Leur tout nouvel album Red Sonja (avril 2020) pousse très loin l’expérimentation et la fusion et tient de la musique d’adoration. Partout le rituel, la prière aux divinités naturelles et l’aveu de l’amour dans la chair, la brûlure de passion sur les lèvres, les étreintes désordonnées, le chaos d’animalité. Beauté noire et teint clair, comme le chante Romane dans Morena. Plus qu’un concert, une expérience revigorante.

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Musique, Concert

Saint-Vaast-la-Hougue 50550

Le 24/08/2021

Dans le cadre des Traversées Tatihou. Traversée musicale des jardins de l’île Tatihou. STÉLIOS LAZAROU & ÉLODIE MESSMER (Lolomis - France). Lolomis raccorde le vieux fond nordique, balkanique et slave et le Caucase, à une modernité musicale où se conjuguent les influences du hip hop et de l’électro. Leur tout nouvel album Red Sonja (avril 2020) pousse très loin l’expérimentation et la fusion et tient de la musique d’adoration. A l’occasion du concert-promenade, Stelios Lazarou (flûtes) et Elodie Messmer (harpe) nous offre une pépite acoustique en duo dans les jardins ! JACK TITLEY (Horla, France). Né de parents Beatniks-Bourlingueurs, en osmose totale avec leur temps, Jack a grandi au son de la radio anglaise des années 80 et des vieux vinyles Américains de son père. Ce dernier pratiquait le Bluegrass et trimbalait Jack et sa soeur Danielle dans les concerts et les festivals du genre, les prédestinant malgré eux à un avenir musical très acoustique. Multi-instrumentiste, compositeur hors pair et chanteur incroyable, Jack a évolué en parallèle dans des dizaines de formations éclectiques et y a forgé sa propre plume. Des instrumentaux aux origines indéfinissables et pourtant[...]

photo Le Concert du Mois : Maria Dolores y Amapola Quartet

Le Concert du Mois : Maria Dolores y Amapola Quartet

Concert, Spectacle

BREHAL 50290

Le 14/01/2022

Tout droit sortie d’un film d’Almodovar, la biche madrilène icône du kitsch latin, n’a pas le goût des demi-mesures. Elle ose, sans détour. Maria Dolores avait pourtant juré de ne plus jamais chanter le tango... Alors, est-ce l’écho du souvenir ou l’appel du bandonéon qui a réveillé en elle cette musique qui coule dans ses veines ? Avec l’Amapola Quartet, la diva madrilène révèle sa voix envoûtante dans un concert qui alterne moments de grâce musicale et passages humoristiques où elle raconte avec une drôlerie gargantuesque SA véritable histoire du tango : décalée, drôlissime, mais aussi profondément humaine. Ensemble, ils conversent dans cette langue sensuelle qui n’appartient qu’au tango, d’où s’échappent soupirs et soubresauts faisant de cette musique une fusion de passion et de peine. D’airs susurrés en milongas des exilés, on parcourt les trottoirs de Buenos Aires avec cet orchestre au son sublime... ‘‘Si l’amour savait parler, sa langue serait celle du tango’‘.

photo Le Concert du Mois : Maria Dolores y Amapola Quartet

Le Concert du Mois : Maria Dolores y Amapola Quartet

Musique, Concert

Bréhal 50290

Le 14/01/2022

Tout droit sortie d’un film d’Almodovar, la biche madrilène icône du kitsch latin, n’a pas le goût des demi-mesures. Elle ose, sans détour. Maria Dolores avait pourtant juré de ne plus jamais chanter le tango... Alors, est-ce l’écho du souvenir ou l’appel du bandonéon qui a réveillé en elle cette musique qui coule dans ses veines ? Avec l’Amapola Quartet, la diva madrilène révèle sa voix envoûtante dans un concert qui alterne moments de grâce musicale et passages humoristiques où elle raconte avec une drôlerie gargantuesque SA véritable histoire du tango : décalée, drôlissime, mais aussi profondément humaine. Ensemble, ils conversent dans cette langue sensuelle qui n’appartient qu’au tango, d’où s’échappent soupirs et soubresauts faisant de cette musique une fusion de passion et de peine. D’airs susurrés en milongas des exilés, on parcourt les trottoirs de Buenos Aires avec cet orchestre au son sublime... ‘‘Si l’amour savait parler, sa langue serait celle du tango’‘.